« Touche pas à mon pote », ma sœur est dessous

Le Libre Journal n° 375 du 5 avril 2006, page 8.

Dans un article récent, le périodique britannique Frontpage revient sur un sujet souvent occulté par les médias, les intellectuels et les politiques parce qu’islamiquement incorrect : le viol des femmes non musulmanes par des musulmans en Occident.

Les motivations des criminels sont claires : comme ils l’expliquent eux-mêmes, le choix de leurs victimes relève de raisons ethniques. En Australie, en Norvège, en Suède et d’autres nations occidentales ces viols racistes sont en progression et soutenus par de hautes autorités islamiques : le cheik libanais Faiz Mohammed excuse le viol des Australiennes, provocatrices, habillées de façon « indécente », tandis que le mufti Shahid Mehdi explique que les femmes danoises violées l’avaient cherché puisqu’elles ne portaient pas le foulard islamique !

Pour le cheik égyptien Al-Qaradawi (mentor de l’UOIF, plus puissante organisation musulmane de France, dont Nicolas Sarkozy dit qu’elle « ne trouble pas l’ordre public »), les femmes violées « provocatrices parce que non habillées décemment devraient être punies ». Il ajoute : « Pour qu’elle soit affranchie de la culpabilité, une femme violée doit avoir montré la bonne conduite. »

En Norvège et en Suède, le journaliste Fjordman parle d’une épidémie de viol. Deux viols sur trois commis à Oslo sont le fait des immigrés musulmans et 80 % des victimes sont des femmes norvégiennes.

En Suède, selon Ali Dashti, « Les viols collectifs, habituellement faisant participer les mâles immigrés musulmans et les filles suédoises indigènes, sont devenus banals. Il y a quelques semaines cinq Kurdes ont brutalement violé une fillette suédoise de 13 ans. »

En France, Samira Bellil est sortie de son silence — après avoir supporté des années de viols collectifs répétés dans des cités majoritairement habitées par des musulmans — et a écrit un livre, Dans l’enfer des tournantes. Décrivant comment le viol collectif est effréné dans les banlieues, elle a expliqué au Temps que « n’importe quelle fille de voisinage qui fume, emploie le maquillage ou porte des vêtements attrayants est une putain. »

Les femmes occidentales ne sont pas les seules victimes. En Indonésie, en 1998, les groupes de droits de l’homme ont rapporté le témoignage de plus de cent femmes chinoises violées pendant les émeutes qui ont précédé la chute du président Suharto. Bon nombre des violeurs ont dit : « Vous devez être violées, parce que vous êtes chinoises et non-musulmanes. »

En avril 2005, une fillette pakistanaise de neuf ans a été violemment forcée par ses voisins musulmans ; elle était chrétienne et devait payer pour l’intervention des Américains en Irak…

Au Soudan — où les musulmans arabes abattent les musulmans noirs et les Soudanais chrétiens dans un génocide continu — l’ancien esclave soudanais et maintenant activiste des droits de l’homme Simon Deng explique qu’il était témoin des filles et des femmes violées et que le régime arabe de Khartoum envoie ses soldats pour commettre ces crimes. Dans d’autres rapports, des femmes qui sont capturées par des forces gouvernementales sont interrogées : « Êtes-vous chrétienne ou musulmane ? » et celles qui répondent chrétienne sont violées, leurs seins coupés.

Ce phénomène de violences sexuelles islamiques contre des femmes non musulmanes occidentales devrait être traité comme une épidémie pressante, violente, à réprimer. Au lieu de cela, les journalistes, les intellectuels, et les politiciens l’ignorent, le rationalisent, ou diabolisent ceux qui osent en parler.

En Australie, quand le journaliste Paul Sheehan a rendu compte honnêtement des viols collectifs de Sydney, il a été traité de raciste et a été accusé d’entretenir la haine contre les musulmans. Keysar Trad, vice-président de l’association musulmane libanaise australienne a indiqué que les viols collectifs étaient un crime « honteux » mais déploré que l’appartenance ethnique des violeurs ait été rapportée. D’ailleurs pendant le jugement l’appartenance ethnique des violeurs n’a pas été évoquée… Les policiers responsables des enquêtes ont été violemment menacés par les Libanais musulmans : menaces de mort à leur encontre et menaces de viol envers leurs petites amies… La police a fini par laisser tomber les poursuites contre certains violeurs libanais…

En France, dans les banlieues, le viol collectif est maintenant connu simplement comme « tournante » où les victimes savent que la police ne les protégera pas. Si elles se plaignent, dit Samira Bellil, elles savent qu’elles et leurs familles seront menacées. Dans la plupart des poursuites françaises les violeurs musulmans déclarent qu’ils ne croient pas qu’ils ont commis un crime. Et dans un parallèle effrayant avec les violeurs en Australie, ils disent que la victime doit se blâmer elle-même et l’accusent d’être une « salope » ou une « putain ».

Selon The Guardian, pendant les émeutes françaises récentes, un prince saoudien détenteur de parts de la News Corporation a indiqué lors d’une conférence à Dubaï qu’il avait téléphoné à Rupert Murdoch et s’était plaint des nouvelles de Fox News décrivant les perturbations en tant qu’« émeutes musulmanes ». Dans la demi-heure qui a suivi, le terme a été changé en « émeutes civiles ».

À Malmö, la troisième plus grande ville en Suède, la police a admis qu’elle ne commande plus la ville. Elle est efficacement dirigée par les troupes violentes des immigrés musulmans. Le personnel d’ambulance est régulièrement attaqué et refuse maintenant d’intervenir jusqu’à ce qu’une escorte de police arrive. La police a trop peur pour investir ces parties de la ville sans protection.

Début 2005, les journaux norvégiens ont signalé qu’Oslo avait enregistré le nombre le plus élevé de viols les douze mois précédents. Cependant, les statistiques officielles ne contenaient aucune donnée concernant « la surreprésentation des immigrés dans les auteurs de viols », et les médias demeurent étrangement silencieux.

À Oslo, le professeur d’anthropologie Unni Wikan a déclaré que les femmes norvégiennes doivent prendre la responsabilité du fait que les hommes musulmans trouvent leur façon de s’habiller provocatrice. Et puisque ces hommes croient que les femmes sont responsables du viol, les femmes doivent s’adapter à la société multiculturelle !

En 2004, la BBC a diffusé un documentaire dont la police en Grande-Bretagne a considéré qu’il était de nature à « augmenter la tension raciale dans ces circonstances exceptionnelles… »

À Channel 4, l’animateur responsable a accédé à la demande de la police en renonçant à diffuser un documentaire qui devait montrer « comment des Pakistanais et d’autres hommes musulmans ont sexuellement maltraité des jeunes filles anglaises blanches de onze ans. »

En trois décennies d’immigration dans les pays occidentaux, l’Islam a causé des bouleversements et des ravages sociaux dans chacun de ses pays d’accueil. Aucun autre programme d’immigration n’a rencontré de tels problèmes de non-assimilation et d’incompatibilité religieuse.